CUBA 10/2021

« Il faut des prêtres pour s’occuper d’un peuple dont l’âme est blessée », déclare le Père Martín Chevarría Vaca, recteur du séminaire de Santiago. « L’objectif de notre séminaire est l’évangélisation du peuple cubain par la formation de prêtres locaux. Le fait que des jeunes gens plus nombreux que l’année précédente se soient inscrits est une grande joie pour notre Église, qui n’arrête pas de prier pour avoir des vocations ».

Cependant, la formation des futurs prêtres coûte aussi de l’argent. La nourriture, l’électricité, l’eau, le matériel didactique, les médicaments, les vêtements, les salaires des enseignants — tout cela doit être payé. Les prix ne cessent d’augmenter dans ce pays qui traverse de toute façon depuis des années une grave crise économique. À cela s’ajoutent les coûts des mesures de sécurité et du matériel de protection imputables à la pandémie.

L’Église de Cuba est pauvre. C’est pourquoi nous soutenons la formation des 17 futurs prêtres, à hauteur de 8.500 euros. En effet, aucune vocation ne doit être perdue simplement parce que l’argent manque.

„Es werden Priester gebraucht, die ein Volk, dessen Seele verwundet ist, betreuen“, sagt Pater Martín Chevarría Vaca, der Rektor des Priesterseminars von Santiago. „Das Ziel unseres Seminars ist die Evangelisierung des kubanischen Volkes durch die Ausbildung einheimischer Priester. Dass sich sogar mehr junge Männer angemeldet haben als im Vorjahr ist eine große Freude für unsere Kirche, die nicht aufhört, um Berufungen zu beten.“

Jedoch kostet die Ausbildung der zukünftigen Priester auch Geld. Lebensmittel, Strom, Wasser, Lehrmaterial, Medikamente, Kleidung, die Gehälter der Lehrkräfte – alles das muss bezahlt werden.  Die Preise in dem Land, das eh schon seit Jahren in einer schweren Wirtschaftskrise steckt, steigen immer weiter. Dazu kommen in Zeiten der Pandemie auch noch Kosten für Sicherheitsmaßnahmen und Schutzmaterial. 

Die Kirche in Kuba ist arm. Wir unterstützen daher die Ausbildung der 17 angehenden Priester mit 8.500 Euro. Denn keine Berufung soll verloren gehen nur weil das Geld fehlt.